La morale du Road movie

Comme on le sait toute œuvre à une morale à faire comprendre par le public vis à vis de nos opinions et clichés déjà inscrit dans notre cerveau collectif.

Le road movie fait office au début de sa création; d'espoir d'une nouvelle vie en Amérique envers les immigrés cherchant à refaire leur vie mais il leur faisait des erreurs de réalité avec « Le Magicien d' Oz » de Victor Flemming qui leur faisait croire que les rues étaient dorées alors que non elles sont bétonnées.

Depuis le road movie a fait des progrès ; maintenant il s’inscrit dans l’histoire comme un rappel à la réalité dans « Easy Rider » ou d’autre n’hésite pas à faire des comparaisons entre vie tranquille et mouvementé, etc.

‘‘Le road movie est genre d’expression de la vie’’

Certains acteurs et cinéastes restent dans l’histoire comme Charlie Chaplin, Dennis Hopper, Clint Eastwood, … qui ont su donner un sens nouveau au genre : une expression de la liberté, représentant des relations humaines libres et de la vie en général.

S’il fallait résumer l’ampleur du road movie en voici un exemple de J.B Thoret et B.Benoniel (auteurs du livre : « Road movie USA » :

« Il y a souvent un ou plusieurs espaces à traverser avant d’accéder à l’espace américain. Vu de l’autre rive, tout voyage ultérieur, celui que va figurer dans le road movie à force de fiction sillonnant le continent d’est en ouest (western) du nord au sud , peut-être vu comme une répétition fantasmé ; du movement d’une génération antérieur ayant parcouru le monde pour arriver à destination.

C’est une « américanité » (espace en mouvement) ; pour quelques cinéastes le genre road movie devient l’occasion d’une redite et d’un déplacement. »